La maman de la fille de 13 ans a d’ailleurs exprimé sa peine inconsolable sur les réseaux sociaux : “Il n’y a pas de mots qui puissent expliquer mes sentiments”, a-t-elle écrit. Elle a également rendu hommage à la joie de vivre de sa petite fille sur les réseaux : “Je veux juste être reconnaissante que ma fille ait vécu et brillé sur terre pendant 13 ans et continuera maintenant à briller dans le ciel en dansant pour l’éternité”, a-t-elle poursuivi.
Un membre de la famille d’Ana Paola s’est également exprimé sur la disparition de la petite : “Quelqu’un s’est introduit par effraction dans le domicile de ma cousine à Nogales. Cette personne a violé et tué ma nièce, qui avait 13 ans. Toute pensée, solidarité, citoyenneté ou économie sont inutiles. Aujourd’hui, le Mexique, le gouvernement et le monde ne peuvent plus compter sur moi”.

Le deuil d’un enfant

Être confronté à la perte d’un être cher est une épreuve dévastatrice, et encore plus lorsqu’il s’agit d’un enfant innocent. En effet, le jeune âge des victimes prend de court les parents qui ne sont pas préparés à cette perte, pouvant rendre le processus du deuil encore plus complexe.

Ainsi, face à cette douloureuse expérience, Ambre Pelletier, coach maternelle et thérapeute familial recommande aux parents de profiter de l’aide de leurs amis, de leur famille ou encore de groupes de parole pour des parents ayant traversé des épreuves similaires.

Un soutien thérapeutique pourra également être envisagé mais ce qu’il faut retenir selon la coach, c’est que “la façon de surmonter la mort d’un enfant est personnelle à chacun des membres de la famille. Et ce dont ils ont le plus besoin, ce ne sont pas des conseils, mais d’une écoute attentive et empathique”.

Source : Santeplusmag