« Adieu petit ange » une petite fille décède à l’école après la punition de l’institutrice

Le milieu scolaire est un environnement éducatif que l’enfant découvre assez tôt durant son existence, il contribue donc bien évidemment à constituer une partie de sa perception du monde extérieur mais l’aide avant tout à tisser des liens sociaux nouveaux et divers. Malheureusement, cette expérience peut vite tourner au drame à cause du comportement irresponsable de certains professionnels du domaine.

Les limites autorisées pour la punition scolaire

L’emploi du châtiment corporel a pendant plusieurs années fait partie des punitions scolaires en vigueur dans le système éducatif français jusqu’à ce qu’il soit formellement interdit. Dans certains pays, ces pratiques sont toujours d’actualité et sont autorisées dans les établissements d’enseignement public.

On parle de châtiment corporel lorsque la punition provoque une douleur physique chez la personne, assez souvent accompagnée d’humiliation. Parmi les punitions corporelles les plus répandues on peut citer la gifle, la fessée ainsi que la flagellation.

Mais en France, depuis que la circulaire du 11 juillet 2000 a vu le jour, une liste officielle des punitions autorisées dans le milieu scolaire a été mise en évidence, éliminant ainsi toute possibilité de violence ou d’agressivité du corps enseignant vis-à-vis des élèves. Parmi ces mesures éducatives autorisées on retrouve le devoir supplémentaire, la retenue, l’inscription d’un mot sur le carnet de correspondance, l’exclusion ponctuelle d’un cours etc…

L’histoire douloureuse d’une petite chinoise victime d’irresponsabilité

La seule chose dont la petite Guo Jintong a été « coupable » est qu’elle était très active et distrayait le reste de la classe en bavardant. Ce qui a donné à l’enseignante une idée inimaginable : sceller sa bouche avec de la colle et du scotch.

La petite Guo a continué de jouer avec les autres enfants malgré le fait qu’elle était bâillonnée jusqu’à ce qu’elle commence à se sentir de plus en plus mal.

Ayant remarqué que la petite fille n’allait pas bien du tout, l’institutrice a immédiatement appelé les secours, mais à leur arrivée, la petite Guo était déjà morte par suffocation et ils ne pouvaient plus rien faire pour la sauver.

Les parents, complètement anéantis ont alors exigé de savoir si des punitions aussi cruelles étaient vues comme normales à la maternelle. Le gouvernement, de son côté, a lancé une enquête tandis que les habitants de la ville réclamaient qu’on leur donne des réponses et que justice soit faite, bien que rien ne puisse vraiment soulager la douleur des pauvres parents ou compenser leur perte.

Ce dont les parents devraient être conscients pour protéger leurs enfants

Le psychothérapeute Alberto Pellai a mis en évidence des marches à suivre pouvant indiquer si un enfant a été victime de maltraitance à l’école ou pas et elles sont au nombre de 5 :

  1. Il manifeste une fatigue excessive que ce soit au moment d’aller à l’école ou en rentrant à la maison en fin de journée. Ceci s’accompagne d’un changement du comportement de l’enfant à chaque fois qu’il retourne à la maison.
  2. L’enfant maltraité devient soit très silencieux soit agressif. Ceci peut également le rendre incapable de récupérer de l’énergie ou de l’enthousiasme.
  3. Un enfant en dessous de 5 ou 6 ans a généralement du mal à parler lorsqu’il éprouve des émotions négatives sévères.
  4. Il ne faut jamais demander à un enfant ce qui s’est passé à l’école en lui disant : « Dis-moi, le professeur t’a fait quelque chose de mal ? », parce que les enfants ont tendance à avoir la réaction que l’on attend d’eux et à dire ce que les parents veulent entendre.
  5. Il faut donc plutôt dire quelque chose comme : « Peu importe ce qui t’arrive, tu peux toujours le dire à ton père et à ta mère qui seront toujours capables d’aider leur enfant. »

Malencontreusement, les cas illustrant l’irresponsabilité et la violence de professionnels du secteur éducatifs sont innombrables mais peuvent néanmoins devenir de plus en plus rare si nous sensibilisons les autres au sujet de telles atrocités. N’hésitez donc pas partager ceci autour de vous !

Source : Santeplusmag

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